13 août 2010

La communauté francophone de l’Ontario : Cinq perspectives régionales uniques

La Fondation Trillium de l’Ontario s’appuie sur le long questionnaire de recensement pour révéler une communauté vieillissante et de plus en plus diversifiée


Nouvelles
Cinq nouveaux rapports publiés aujourd’hui exposent en détail les tendances démographiques de la communauté francophone à Toronto et certaines régions de l’Est, du Nord-Est et du Sud-Ouest de l’Ontario.


Adaptés pour refléter les circonstances et les caractéristiques régionales de la population francophone, les cinq rapports illustrent les tendances propres à la communauté entre 2001 et 2006. Ils tiennent compte de la nouvelle Définition inclusive de francophone (DIF) et s’appuient sur l’information de recensement la plus solide et la plus précise actuellement disponible.

Dans leur ensemble, les cinq rapports statistiques révèlent les données suivantes :
• La communauté francophone se diversifie. À Toronto, elle reflète de plus en plus la diversité propre à cette ville alors qu’un francophone sur trois appartient à une minorité visible. Cette proportion est de 9 % dans Champlain et de 6,8 % dans le Sud-Ouest de la province.
• La population francophone du Nord-Est et du Sud-Ouest diminue et fait face à des défis uniques en raison du vieillissement de sa population et parce qu’elle compte proportionnellement moins d’enfants et de jeunes.
• Située dans l’Est de l’Ontario, la région de Champlain est le lieu de résidence de la plus importante communauté francophone de la province – plus d’un quart de million de personnes. Les francophones y gagnent un peu plus que l’ensemble de la population, toutefois il existe un écart de revenu important pour les francophones de minorité visible.
• Bien qu’elle représente un faible pourcentage de la population torontoise totale, la communauté francophone de Toronto compte 53 000 membres et, à ce titre, est l’une des plus importantes en Ontario.
• Plus des deux tiers des francophones de la province utilisent le français au travail. Dans Champlain, cette proportion est passablement plus élevée, à savoir 86,4 %.


Citation
« Ces récents rapports sont un outil essentiel pour maximiser l’effet de nos subventions. Ces données nous permettent d’être stratégiques dans l’allocation de nos fonds et l’établissement de nos priorités et ainsi mieux appuyer les communautés de l’Ontario.

Nous sommes heureux d’avoir pu nous servir des données tirées du long questionnaire de recensement de Statistique Canada. Notre Fondation tout comme les collectivités et le secteur bénévole de la province comptent sur cette source d’information unique sur les populations, les langues, l’emploi, le revenu et la scolarité au niveau des communautés. »

L. Robin Cardozo, Chef de la direction, Fondation Trillium de l’Ontario


Pour en savoir davantage
Les cinq profils régionaux portent sur les régions géographiques suivantes :
• Champlain – Ottawa et une partie de l’Est ontarien
• Algoma, Cochrane, Manitoulin, Sudbury
• Muskoka, Nipissing, Parry Sound, Timiskaming
• Essex, Kent, Lambton
• Toronto


En 2009, la FTO et l’Office des affaires francophones ont publié conjointement un rapport statistique provincial intitulé Profil de la communauté francophone de l’Ontario.


La recherche menée à la Fondation fait partie de ses efforts constants pour favoriser l’épanouissement de collectivités saines et dynamiques, en rassemblant et en distribuant de l’information statistique actuelle concernant les communautés de l’Ontario.

À titre de principal bailleur de fonds, la Fondation Trillium de l’Ontario renforce la capacité du secteur bénévole grâce à des investissements dans des initiatives communautaires. En tant qu’organisme relevant du gouvernement de l’Ontario, la FTO favorise l’épanouissement de collectivités saines et dynamiques.


Renseignements sur la FTO
Consultez Les Profils de votre communauté
Suivez L. Robin Cardozo on Twitter
Visitez Fondation Trillium de l’Ontario


Renée Ouellet 1.800.263.2887, poste 265 - rouellet@trilliumfoundation.org

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11 août 2010

Coordonnateur/Coordonnatrice du Programme d’entrepreneuriat pour les jeunes

(Poste à temps plein de durée déterminée qui devrait prendre fin en août 2012 – 3 postes vacants soit un dans chacun des comtés de Stormont, Dundas et Glengarry, de Prescott et Russell, et de Renfrew)


Sous l’autorité du directeur ou de la directrice général(e), le ou la titulaire du poste sera responsable de mettre en œuvre un nouveau programme bilingue d’entrepreneuriat pour les jeunes.


Principales responsabilités :
• travailler conjointement avec les écoles primaires, secondaires et postsecondaires ;
• faire la promotion du programme auprès des conseils scolaires, des directeurs/directrices, des enseignant(e)s et des participant(e)s ainsi que familiariser les enseignant(e)s et les participant(e)s quant au contenu du programme ;
• collaborer étroitement avec les entrepreneurs locaux afin d’organiser leur participation au programme lorsqu’il y a lieu ;
• développer du matériel de fond de même que des documents de référence pour le programme, y compris le contenu pour le site Web ;
• concevoir et mettre des stratégies de marketing en œuvre ;
• coordonner des activités communautaires de même que des événements de reconnaissance ;
• travailler en collaboration avec les partenaires du programme dans la région, tout particulièrement avec les Centres d’encadrement des petits entrepreneurs (CEPE) locaux ;
• développer et animer des camps d’été régionaux pour les jeunes entrepreneurs; et
• effectuer les tâches administratives quotidiennes.

Exigences du poste :
• maîtriser le français et l’anglais, tant à l’oral qu’à l’écrit ;
• détenir un diplôme postsecondaire (Collège ou Université) dans un secteur lié au domaine des affaires et posséder de l’expérience en animation de groupe ; ou un diplôme postsecondaire (Collège ou Université) dans un domaine lié à l’éducation avec connaissances approfondies des principes et pratiques de l’entrepreneuriat ; ou toute autre combinaison équivalente de formation et d’expérience ;
• posséder un permis de conduire valide de classe G (ou G2), un dossier de conduite sans faute ainsi qu’avoir accès à un véhicule ;
• posséder de l’expérience dans la conception et la mise en œuvre de nouvelles initiatives ;
• être en mesure de travailler aisément avec les enfants, les jeunes adultes, les enseignant(e)s et autres professionnels et ce, dans un climat de collaboration ;
•  être doté(e) d’un excellent sens de l’organisation et d’aptitudes marquées en communication au niveau des relations interpersonnelles et des présentations publiques ;
• avoir de l’expérience en marketing ou en relations publiques serait un atout.


*La rémunération sera proportionnelle aux qualifications et à l’expérience des candidat(e)s.
*Ce poste requiert de fréquents déplacements sur le territoire du programme.

Les candidat(e)s possédant les compétences appropriées sont prié(e)s de faire parvenir une lettre de présentation ainsi que leur curriculum vitae avant le 31 août 2010 à :

Société d’aide au développement des collectivités du comté de Renfrew
Adresse : 2 International Drive, Pembroke, Ontario, K8A 6W5
Télécopieur : 613.735.7480
Courriel : rccfdcinfo@bellnet.ca


Veuillez envoyer toute correspondance à l’attention de : « Équipe d’évaluation du Programme d’entrepreneuriat pour les jeunes ». Les postes vacants se situent à Pembroke, à Hawkesbury et à Cornwall en Ontario. Veuillez indiquer le(s) lieu(x) de travail que vous préférez dans votre lettre de présentation.


Nous remercions à l’avance ceux et celles qui auront soumis une demande d’emploi, mais nous ne contacterons que les personnes choisies pour la prochaine étape de sélection.


A titre d'organisme à but non lucratif axé sur la collectivité, la Société d’aide au développement des collectivités encourage l'entrepreneuriat tout en contribuant à la croissance économique des collectivités rurales.



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9 août 2010

Le cycle des saisons au Canada

Pour les nouveaux arrivants, l’hiver canadien (ses rigueurs mais aussi les nombreuses occasions de se récréer qu’il provoque) est probablement ce qui distingue le plus ce pays nordique. Toutefois, le passage marqué de cette saison froide permet de mettre en relief les trois autres saisons.

Le printemps :
· L’air doux et frais, les rayons du soleil qui réchauffent enfin, le retour des oiseaux, le temps des sucres, la nature qui revient lentement d’un profond sommeil.
· Les café-terrasses qui s’animent dans une ambiance festive aux effluves de « goût d’interdit ». Danny Laferrière (
http://fr.wikipedia.org/wiki/Dany_Laferri%C3%A8re) dit du printemps à Montréal : « C’est un printemps qui a connu l’hiver ».
· Pour les enfants, on s’habille (enfin !) plus légèrement. On sort les jouets à roulettes, on court sur les gazons encore détrempés.

L’été :
· C’est la période des vacances.
· La vraie chaleur, accompagnée parfois de sa détestable cousine « l’humidité ».
· Il y a aussi les plages, les pistes cyclables et une foule d’activités qui s’offrent à nous.
· Les fruits et les légumes locaux.
L’automne :
· L’école qui recommence, un nouveau rythme de vie qui s’impose.
· Les journées qui raccourcissent, l’air qui rafraîchit, la disparition des insectes…
· C’est la fête des couleurs. Un spectacle à ne pas manquer qui oblige des randonnées en forêt.
· L’automne se termine par une période un peu sombre qui nous fait apprécier la blancheur de l’hiver.

Le printemps arrive également avec ses insectes assoiffés qui attendent impatiemment. Comment profiter de l’extérieur sans trop être embêté ?
Voici une description des quelques uns de nos petits copains sanguinaires.

Il faut savoir que les premiers insectes à nous harceler sont les « mouches noires » (black flies). On ne les entend pas. Elles aiment se faufiler derrière nos oreilles, dans notre cou, sur nos poignets et chevilles. Plutôt actives pendant la chaleur en milieu de journée.

Les moustiques, que les locaux appellent « maringouins », sont plus actifs en fin de journée lorsque le soleil disparaît lentement. Ils sont « bruyants », ce qui est parfois plus nocif que la piqure en soit. Il est important d’éviter de les laisser entrer dans la maison car une nuit d’enfer est garantie.

Moins communs mais tout aussi harcelants : les « brûlots ». Ils sont impossibles à voir mais leur « brûlure » est bien réelle. Les brûlots se tiennent près des endroits sablonneux et sortent le soir car ils ne peuvent voler au soleil.

Plus tard en été, il y a les « mouche à chevreuil » qui adorent se faufiler dans nos cheveux (une casquette règle habituellement ce problème) et sur nos épaules.

Notre défense : Bien s’habiller. Des vêtements légers mais hermétiques, car les mouches noires, plus particulièrement, se faufilent partout. Parmi les différents types d’insectifuges (aussi appelé « huile à mouche »), la Citronelle est recommandée. Les autres produits (Off, Repex, Muskol, Nero) contiennent des éléments chimiques efficaces, certes, mais très toxiques.

En début d’année, notre peau réagit beaucoup aux piqûres d’insectes. Toutefois, après peu de temps, notre peau et notre système s’endurcissent et les gonflements/rougeurs sont de moins en moins perceptibles.

Le Canada est un pays de lacs et de rivières. Il faut absolument en profiter en pratiquant les nombreux sports aquatiques qui y sont associés (canot, kayak de mer, kayak d’eau vive, voile, ski nautique, etc.). La natation est non seulement un plaisir, c’est également un « must » que commande une approche sécuritaire de ces mêmes sports nautiques. Ainsi, il est tout à fait logique d’inscrire ses enfants (et soi-même !!) à des cours de natation pendant les mois creux de l’automne.
Par Vincent Barrette, ingénieur forestier, passionné par son coin de pays.

3 août 2010

Le magazine Clés en main, c'est qui, c'est quoi ?

Le magazine Clés en main, c’est quoi ?
Le magazine des solutions pour réussir votre intégration. Le but du magazine est d’apporter des réponses précises, des solutions efficaces et concrètes à toute question ou tout problème d’intégration et d’installation.


Le magazine Clés en main, c’est qui ?
Le magazine Clés en main est une réalisation de la société Brosius & Consultants Inc.
© 2010 Magazine Clés en main. Tous droits réservés.

Pourquoi le nom Clés en main ?Ce sont toutes ces informations, ces expériences que nous allons partager avec vous et qui sont les Clés devant vous permettre d’avancer, de vous intégrer, d’optimiser votre installation.

Comment le magazine Clés en main fonctionne t’il ?Le magazine Clés en main est :
- Gratuit, apolitique, fédérateur, positif, constructif, respectueux et promoteur des différences culturelles, religieuses et sociales.
- Le magazine est principalement expédié par courriel
- Une commission d’éthique se réunit avant chaque numéro et contrôle le respect des critères susnommés
- Le contenu des textes et des articles édités dans ce magazine restent sous la responsabilité unique de leur auteur. Le magazine ne peut être tenu pour responsable des informations ainsi avancées.
- Seuls les articles, les textes, les témoignages apportant une réponse, une solution concrète aux questions d’intégration et d’installation seront publiés.

Espaces publicitaires et Petites Annonces
Pour l’achat d’espaces publicitaires ou la parution d’annonces, contactez :
Alain Brosius, magazine.clesenmain@gmail.com ou au 1-613 668 6736, Canada

Magazine Clés en main, une réalisation Brosius & Consultants Inc. © 2010 Tous droits réservés

Alain Brosius - Edito 2

Le 1èr numéro du magazine Clés en main, diffusé fin décembre 2009 a remporté un franc succès.

Nous savions que le besoin était grand de disposer d’informations sélectionnées et concrètes, de solutions efficaces aux questions d’intégration. Ce succès a largement dépassé nos attentes.

Plusieurs milliers de personnes se sont abonnées en quelques semaines, non seulement dans la région de la Capitale Nationale, mais à travers tout le Canada et plus largement dans le monde.

Les besoins sont donc bien là, autant pour les questions d’immigration au Canada que pour les phases si stratégiques d’intégration dans notre pays et dans notre région.

Dans cette nouvelle édition du magazine Clés en main, de nombreux spécialistes qui sont souvent des immigrants expérimentés, ainsi que de nombreuses organisations, se sont rassemblés pour vous apporter une nouvelle fois des réponses claires, des solutions concrètes et efficaces aux questions d’intégration.

Seulement 40% des immigrants trouvent un travail dans leur domaine de compétence ! Qui y perd le plus : Les immigrants, les entreprises canadiennes ou le Canada tout entier ?

Le Grand Dossier de ce 2ème numéro concerne les équivalences des diplômes étrangers au Canada et la reconnaissance des acquis.

Découvrez aussi de nouvelles rubriques telles que : l’Employabilité, la Santé et de nombreux témoignages de jeunes qui partagent leurs expériences Canadiennes.

Le magazine Clés en main est bien le magazine des solutions pour réussir votre intégration.

Continuez à nous faire part de vos expériences et des solutions que vous avez trouvées pour réussir votre intégration car la richesse de ce magazine prend d’abord source dans vos témoignages.

N’hésitez pas aussi à faire parvenir ce magazine à vos proches, ou nous envoyer votre adresse courriel pour recevoir gratuitement et directement chez vous le magazine Clés en main.

Toute l’équipe et les intervenants du Magazine Clés en main se joignent à moi pour vous souhaiter : Bonne lecture !

Alain Brosius - magazine.clesenmain@gmail.com

Le service téléphonique 211 à Ottawa : Démêler les défis de la vie.

Lindsay Lalonde, lindsay.lalonde@cominfo-ottawa.orgAgente de communication et liaison - Centre d'information communautaire d'Ottawa.

Le but de ce service téléphonique est d’aider les communautés à naviguer à travers le réseau des organisations et des services disponibles à Ottawa.

Quand quelqu’un appelle le service 211, il est immédiatement connecté à un conseiller qualifié en information et en aiguillage. Il n’y pas de menu téléphonique déroutant, ni de clavier numérique à suivre... Les conseillers en information et en aiguillage sont formés à poser les bonnes questions afin de déterminer les besoins spécifiques des clients.

Par exemple, si un nouvel arrivant souhaite connaître les meilleures adresses pour apprendre l’Anglais ou le Français, nous ferons plus que simplement lui donner des numéros de téléphone. Nous allons évaluer ses besoins spécifiques en lui posant des questions telles que : dans quelle partie de la ville aimeriez-vous trouver ces cours ? Recherchez-vous des cours gratuits ? Voulez-vous apprendre de manière formelle ou informelle, tels que des groupes de conversation ? Avez-vous un moyen de transport ?

En posant ces questions, le conseiller est capable de trouver les ressources qui offrent les meilleurs services pour l’appelant. La décision finale revient au client de faire les démarches lui permettant d’accéder à la classe de langue de son choix.

Le 211 n’aide pas seulement les appelants à trouver de l’information, mais leur permet aussi de prendre des décisions éclairées à partir de l’information qu’ils reçoivent.

Vous avez d’autres questions, vous recherchez d’autres informations, telles que :
Comment trouver un emploi, quelle est l’école la mieux adaptée pour mes enfants, où puis-je trouver un service de traduction, comment puis-je obtenir une carte de Résidence Permanent, où puis-je m’adresser pour faire du bénévolat, ainsi découvrir ma nouvelle société et développer mes contacts, etc.

« 211 Ottawa est un service unique et relativement nouveau. 211 Ottawa a commencé à offrir ses services en septembre 2008 et durant notre première année, nous avons répondu à plus de 20,000 appels. Le 211 est un numéro de téléphone facile à mémoriser qui, dans des situations non urgentes, met l’appelant en contact avec une vaste gamme de renseignements sur les services communautaires, sociaux, gouvernementaux et de santé à Ottawa. Des spécialistes bilingues certifiés en information et en aiguillage répondent aux appels sept jours par semaine.
Le service 211 est gratuit, confidentiel et multilingue (150 langues) »


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Kamal fait une pause

Kamal est un homme de 45 ans. En tant que nouvel arrivant au Canada, Il habite depuis plus d’un an à Donald street, aux environs du boulevard St-Laurent.

Comme d’habitude il doit se réveiller tôt, prendre sa légère toilette et revérifier son agenda. En effet, sur une sonnerie bien choisie, Kamal s’est mis debout et pense déjà à mieux faire pour ne pas rater son bus. Il doit se rendre à plusieurs endroits.

Pour commencer, il faut qu’il aille renouveler sa carte mensuelle. Ensuite, passer dans un centre communautaire pour imprimer une vingtaine de CV pour les envoyer ou les déposer chez différents employeurs. Il passera ensuite dans un magasin pour voir s’il y a possibilité d’acheter un ordinateur à un prix abordable et puis se rendre chez un ami qui a, vraisemblablement, les mêmes préoccupations.

En sortant de chez lui, il se rend à pas rapides à la station d’autobus la plus proche. Avant d’y arriver, le bus en question était déjà sur place et Kamal s’efforça de le rejoindre …Pas possible, il part déjà! Kamal doit encore attendre 30 minutes pour le prochain…Alors, il faut qu’il s’installe quelque part au lieu d’attendre dans la rue.
Heureusement Tim Horton se trouve tout prêt et c’est l’occasion d’aller faire le point tout en buvant un petit café 2/2…

Pour commencer, il est revenu sur le loyer à payer, la facture du téléphone, le laisser passer Oc –Transpo pour le mois prochain ainsi que les frais que vont occasionner la visite d’un ophtalmologue et l’achat des lunettes.

Tout en inscrivant sur un morceau de papier ses priorités et ses difficultés, il arrêta un instant ses réflexions pour se poser la question suivante : comment se fait-il que partout dans la ville tout le monde s’applique à jeter les déchets dans la poubelle alors que ce n’est pas le cas pour ce qui est des cigarettes?

En essayant de trouver une réponse, il se leva rapidement et jeta, effectivement, son 2/2 dans la poubelle tout en faisant vite pour ne pas rater encore son bus qui le voit venir.
Abdelkader El Habziz

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Immigration - Réfugiés : Changements survenus en juillet 2009

Entente entre le Canada et les États- Unis

En vertu de l’Entente entre le Canada et les États-Unis mise en œuvre en décembre 2004, les réfugiés qui viennent en Amérique du Nord doivent présenter leur demande d’asile dans le premier pays sûr où ils arrivent, c'est-à-dire le Canada ou les États-Unis.

En Juillet 2009, le Canada a supprimé l’une des exceptions prévues à cette entente notamment celle qui autorisait les ressortissants des pays visés par une suspension des mesures de renvoi (Afghanistan, République Démocratique du Congo, Haïti, Iraq, Zimbabwe).

La raison avancée pour ce changement était que la mesure allait contribuer au système Canadien d’octroi de l’asile.

De l’avis des plusieurs intervenants auprès des réfugiés, c’est plutôt le manque des ressources à la Commission de l’immigration et du statut de réfugié et le manque de volonté politique de pouvoir régler le problème qu’il faut blâmer pour les milliers des demandes qui engorgent le système.

En pratique, les personnes qui se voient refuser l’entrée au Canada par la frontière terrestre canado- américaine ont pour la plupart déjà épuisées leurs recours aux États-Unis et risquent donc de se faire quand même déporter dans des pays vers lesquels le Canada a suspendu les renvois.

Une autre exception prévue à l’entente est couramment utilisée. C’est lorsqu’on a un membre de la famille au Canada. Il est cependant difficile pour les réfugiés qui n’ont pas souvent des documents de prouver qu’ils ont de la famille au Canada. Ils se voient alors eux-aussi renvoyer auprès des autorités américaines qui finissent par les déporter.

Levée de la suspension des mesures de renvoi vers le Burundi, le Liberia et le Rwanda

Le gouvernement a en autre décidé en juillet 2009 de lever la suspension des renvois vers certains pays, entre autres le Burundi, le Libéria et le Rwanda. Cette mesure a des conséquences pour les ressortissants de ces trois pays qui peuvent techniquement être déportés du Canada s’ils n’ont pas un statut légal d’immigration.

Toutefois, le gouvernement a convenu d’accorder un sursis à l’exécution des mesures de renvoi aux personnes qui présentent une demande de résidence permanente au Canada pour des motifs humanitaires jusqu’à ce qu’une décision soit rendue.

Vous avez besoin d’aide concernant une question d’immigration ?


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Nathalie Wuta est Agent de Soutien Administratif

D’origine Congolaise Nathalie a quitté ce pays à l’âge de 4 ans pour immigrer avec toute sa famille en France. A 25 ans, Nathalie décide de faire le grand saut et de partir à l’aventure au Canada. Son voyage l’amène d’abord en Alberta, à Banff ou Nathalie passe 4 mois et travaille pour le Banff Center, le centre culturel et de congrès. De là, Nathalie part à Vancouver et travaille comme assistante optométriste.

Nathalie détient 2 diplômes Français : un Brevet de Technicien Supérieur d’assistante de direction Trilingue (Bac+2) et un Diplôme Universitaire de Technologie en Technique de commercialisation.

Pour travailler au Canada, Nathalie a d’abord bénéficié d’un Permis Vacances Travail puis d’un Visa de Développement Professionnel.

Les Programmes de mobilité des jeunes Français de 18 à 35 ans
Programme Vacances-Travail (PVT) : Ce programme est destiné aux jeunes Français souhaitant effectuer un séjour de découverte touristique et culturelle, tout en étant autorisés à travailler pour compléter leurs ressources financières (minimum 6 mois, maximum 12 mois).

Le Visa PVT est non renouvelable. Le statut est de travailleur temporaire.
Les domaines de la santé ou de l’enfance ne sont pas accessibles pour un emploi.
Les salaires sont identiques à ceux pratiqués pour les Canadiens.
Développement Professionnel : Ce programme est destiné aux jeunes professionnels français souhaitant acquérir une expérience ou un perfectionnement dans leur champ de compétence, sous couvert d'un contrat de travail à durée déterminée (maximum 18 mois).
Avant d’obtenir ce Visa, vous devez disposer d’un contrat d’embauche d’une entreprise Canadienne.
En savoir plus : http://www.dfait-maeci.gc.ca/canada-europa/france/jeunesse-youth/programme_mobilite-mobility_program-fr.asp#prog


Mes fonctions au CESOC sont :
- Accueillir les visiteurs et répondre aux appels entrants
- Promouvoir les services du CESOC auprès de toute personne intéressée
- Gérer le quotidien et les affaires courantes du bureau, gérer la boite courriel

- Assister mes collègues pour tout besoin technique et matériel

Pourquoi le canada :
En France, j’étais étiquetée BTS Trilingue. Le marché du travail étant très cloisonné, j’avais peu de choix.

En parallèle, je cherchais à acquérir des expériences professionnelles dans un pays où je puisse pratiquer mon Anglais. Le Canada m’a semblé être le meilleur compromis par rapport à mes objectifs personnels et professionnels. Lors d’un Forum en France sur le Canada, j’avais rencontré des chefs d’entreprises et des responsables d’organisations de ce pays. C’est ainsi que j’ai décroché mon premier emploi à Banff.

Quels conseils donnerais-tu à nos lecteurs ?
Apprendre à s’adapter, oublier certains modes de fonctionnement de nos pays d’origine, ne pas systématiquement comparer, ne pas refuser des emplois même s’ils ne sont pas en lien direct avec notre parcours professionnelle ou scolaire, bref rester ouvert ! C’est fondamental dans ce type d’expérience. Les opportunités existent, exemple : je travaille à la réception du CESOC. Outre le fait de rencontrer beaucoup de monde, je créé mon réseau.
En février 2008, j’ai coordonné l’organisation de la journée Événement du CESOC lors du Mois de l’Histoire des Noirs. Cette expérience exceptionnelle m’a donné l’envie de travailler dans l’évènementiel. Le bénévolat est aussi une voie intéressante pour atteindre son objectif.

Vous voulez lui écrire : nathalie.wuta@cesoc.ca
Propos recueillis par Alain Brosius


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La comptabilité au CESOC

Une organisation se doit de mettre en place des outils de gestion des données financières et comptables. Le fait que le CESOC soit un organisme à but non lucratif ne le soustrait pas à cette exigence. En effet, le CESOC entretient des relations avec plusieurs partenaires, à l’instar des bailleurs de fonds qui financent ses programmes, des fournisseurs de biens et services, etc.
Dans le passé, la comptabilité du CESOC était tenue par un agent qui devait gérer aussi les dossiers des nouveaux arrivants, ce qui posait un problème de surcroit de travail. Depuis le mois d’avril 2009, le CESOC a créé un poste dédié à la gestion comptable exclusivement. Cette fonction est assumée par Anne Abilon qui a aussi un background en gestion des comptes bancaires d’entreprises.

Une des tâches d’Anne consiste à faire des paiements. En effet, elle collecte les factures des fournisseurs avec qui le CESOC entretient des relations d’affaires et assure leur paiement. Elle s’occupe aussi du dossier des employés en effectuant la paie, les remboursements des dépenses diverses liées aux programmes, en gérant le dossier de Régime d’épargne Retraite, le dossier d’assurance et le dossier administratif du personnel. De façon proactive, Anne doit assurer un suivi des dépenses par rapport au budget alloué à chaque programme à travers des tableaux de suivi de la trésorerie ou BVA. La fin du mois est capitale pour elle car c’est le moment de faire les rapports à envoyer aux bailleurs de fonds qui permettent en quelque sorte de rendre compte de l’utilisation des fonds alloués. Comme quoi, les bons comptes font les bons amis !

Le profil de l’agent comptable
Anne compte à son actif plus de six ans d’expérience en banque et services bancaires aux entreprises, couplée à des formations universitaires gratifiées par une maîtrise en Economie de gestion et d’un DESS en gestion financière et bancaire.
Comment un banquier ou un comptable formé à l’étranger peut s’insérer dans le marché de l’emploi canadien ? Il existe divers moyens car le gouvernement met en place plusieurs ressources qui permettent aux nouveaux arrivants qualifiés de trouver rapidement du travail dans leur domaine de compétence.

Le cheminement d’Anne a été le suivant : Tout d’abord, elle a fait évaluer ses diplômes pour obtenir des équivalences. Ses formations universitaires correspondent à un niveau post-baccalauréat en Ontario. Ensuite, elle s’est fixée un objectif et a décidé de procéder par étapes pour l’atteindre. Elle a donc suivi un séminaire sur la recherche d’emploi, s’est inscrite au programme STEP (Settlement To Employment Program) du collège Algonquin qui lui a permis de travailler avec une conseillère en emploi. Ensuite, elle a suivi plusieurs mois de cours d’anglais au Collège Algonquin et continue de prendre des cours d’anglais en ligne. Enfin, elle s’est inscrite dans un programme d’apprentissage d’un logiciel comptable et c’est à ce moment qu’elle a eu l’opportunité de travailler sur le logiciel comptable du CESOC. Alors qu’elle pensait n’être utile que dans le secteur bancaire au Canada, le CESOC lui a permis d’envisager d’autres horizons professionnels. Elle rêve présentement de devenir comptable général agréée…


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Programme Vieillir en bonne santé

Ce programme est destiné aux personnes issues des minorités raciales et ethnoculturelles francophones de 55 ans et plus. L’objectif est d’accompagner ces personnes pour leur permettre de vieillir en santé, répondre à leurs différents besoins du quotidien mais aussi et briser leur isolement.

Voici les différents programmes et services offerts
- Atelier et Présentation : C’est un programme qui est offert chaque mois. Un professionnel de la santé ou un intervenant vient donner une session d’information sur des sujets d’intérêts tels que : Nutrition, maladies du cœur, finances, etc.
- Sorties santés : On organise des sorties chaque mois dans le but de briser l’isolement.
- Aide à domicile : Fournir un soutien a domicile aux ainés et aux adultes avec un handicape physique afin de favoriser une meilleure qualité de vie a domicile. Aider avec le ménage, préparation de repas, hygiène personnelle, etc.
- Café rencontre : Service offert chaque semaine dans le cadre social, partager un café. Pour rester actif. Nous organisons des jeux récréatifs.
- Traduction : Traduire les documents officiels, les papiers d’immigration, déclaration des taxes et autres.

Les services offerts par les bénévoles du programme Vieillir en bonne santé :
En tant que bénévole, vous pouvez contribuer à notre programme en offrant les services suivants :
- Transport
- Aider à amener l’aîné à se rendre à ses rendez-vous notamment médicaux, aux événements sociaux.
- Accompagner l’aîné à faire les achats, l'épicerie et même une marche au centre d'achat, aller à l’église, au cinéma.
- Visite amicale et Encadrement familial :
Les visites amicales sont organisées directement entre le bénévole et le client, Le bénévole peut inviter l’aine à son domicile afin de briser la routine.
- Appel amical
Afin de briser l’isolement et de s’assurer que tout va bien dans la vie de l’aîné, nous recommandons à notre bénévole d’appeler à la personne chaque matin.

N.B : Nos bénévoles font l’objet d’une vérification des antécédents.

Ce programme est réalisé en partenariat avec le Centre Juif des Services Familiaux

Pour plus d’informations, Contactez Espérance Umutesi au 613 248 1343 poste 331 ou par mail : eumutesi@cesoc.ca

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Immigrants francophones et accès à l'emploi

L’accès à l’emploi est une préoccupation majeure des nouveaux arrivants et immigrants du Canada, qui sont généralement reconnus comme dotés de compétences techniques et de qualités professionnelles remarquables. Bien que tous soient à la recherche d’un emploi, il y a lieu de reconnaître que le chemin à parcourir n’est pas toujours le même. Il varie en fonction de plusieurs facteurs. Un de ces facteurs est la langue et son impact dans le processus de recherche et d’accès à l’emploi n’est pas négligeable.


Pour les immigrants francophones particulièrement, le paramètre linguistique pèse énormément dans la balance. Certes, ils constituent une réelle valeur ajoutée au sein du marché d’emploi. Parmi eux on compte des professionnels hautement qualifiés tels que les médecins, les ingénieurs, les professeurs, les chercheurs maîtrisant parfaitement leurs domaines de recherche, etc. Cependant, en dépit de ces compétences, une chose mérite d’être soulignée et comprise par


les francophones à la recherche d’un emploi : très souvent, à quelques exceptions près, le fait de ne pas parler les deux langues officielles (unilinguisme professionnel) constitue un goulot d’étranglement, un talon d’Achille, si pas une barrière tout simplement.


Cette barrière linguistique n’est pourtant pas arbitraire. C’est une contrainte objective du marché du travail. La réalité de ce marché montre par exemple que la gamme variée d’informations sur l’emploi, les pistes et les services ne sont pas toujours disponibles en français. Bien plus, certains secteurs spécifiques exigent la maîtrise de l’anglais comme condition d’accès à l’emploi. Une fois encore, il ne s’agit pas d’une conditionnalité arbitraire. La majorité de l’environnement humain global visé par les compétences professionnelles est anglophone. Enfin, la plupart des entrevues d’embauche se déroulent en anglais, et habituellement, pour maximiser ses chances d’être retenu pour une entrevue, le CV envoyé à l’employeur doit être écrit en anglais.


Face à cet enjeu linguistique et à ce défi bien réel, les immigrants francophones sont appelés à ajouter à leurs compétences professionnelles la compétence linguistique de l’anglais. Le marché canadien du travail a le mérite d’offrir à cet effet des services intensifs et de qualité pour l’apprentissage des langues. Ces services sont disponibles un peu partout à travers le pays et la plupart sont gratuits. Par réalisme professionnel et pour maximiser ses chances dans un environnement de travail franchement compétitif, il importe que les immigrants francophones fassent un ajustement stratégique de leur plan d’action afin de se connecter rapidement aux services communautaires qui offrent des cours d’anglais.


Un avant-goût de ces services est offert à travers divers ateliers de recherche d’emploi organisés par des agences desservant les immigrants telles que LASI COMPÉTENCES MONDIALES, YMCA/YWCA, etc. La participation à ces ateliers permet aux professionnels formés à l’étranger et aux francophones singulièrement de prendre conscience et connaissance de la réalité du marché du travail au Canada, de ses exigences, de sa complexité, des services disponibles, et de conseils utiles pour mieux accéder à l’emploi.


Article réalisé par Jeanne d’Arc MUKANGARAMBE, Lasi Worldskills/Lasi Compétences mondiales, jeannem@ottawa-worldskills.org




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Comment se fête Noël dans certains pays ?

Geneviève est d’origine Québécoise.

Geneviève affectionne tout particulièrement la période de Noël : L’ambiance est particulière au Québec, il ya de la neige partout, les gens sont généreux, les magasins, les maisons, les rues sont spécialement décorés.»

Dés la mi-novembre, Geneviève et ses filles commencent à envoyer des cartes de vœux avec la photo familiale et toute la famille passe du bon temps en confectionnant notamment des décorations pour la maison.

Le 24 décembre à minuit, nous réveillons les enfants en tapant sur des casseroles afin d’ annoncer l’ouverture des cadeaux situés sous le sapin ou dans les bas suspendus au dessus du foyer.

L’ouverture des cadeaux dure environ 2 heures, ensuite tout le monde retourne se coucher. Et le 25 décembre, tout le monde s’active pour préparer le grand souper du soir. Pendant ce souper gargantuesque, où toute la famille et les amis sont réunis, nous buvons beaucoup de punch aux fruits... Après le repas, nous dégustons du café au lait de poule tout en dansant et en chantant.

Propos recueillis par Nathalie Wuta


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Comment Noël se fête dans certains pays ?

Mirela est d’origine Roumaine et installée au Canada depuis 2005 :

La religion d’état en Roumanie est l’orthodoxie. Les 40 jours précédents Noël sont des jours de jeûne. Le jeûne se termine le 24 décembre à minuit. Le 25 toute la famille se réunit pour partager un grand repas. Il est alors de tradition de manger beaucoup de charcuterie de porc.

Environ une semaine avant Noël, nous tuons le cochon et faisons notre propre charcuterie. On prépare de nombreux plats différents, tels que des saucisses, des terrines, du jambon.

En ville on préfère acheter le cochon à la ferme déjà tué et nettoyé, c’est plus simple.

Pendant cette période de l’année les rues, les boutiques, les maisons sont décorées et illuminées. On ressent vraiment une atmosphère différente du reste de l’année.

Une chose qu’affectionne tout particulièrement Mirela, c’est le soir du 24 décembre, lorsque des groupes d’enfants se déplacent de porte en porte pour chanter des cantiques de Noël. En contre partie les adultes leur donnent des friandises, des fruits, des gâteaux.

Malheureusement rajoute Mirela, les enfants d’aujourd’hui réclament de l’argent pour chanter devant les portes des maisons.

Propos recueillis par Nathalie Wuta


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Reconnaissance et équivalences des diplômes étrangers

Comment y voir plus clair ?

Pour nous tous immigrants Francophones, nous avons une certaine culture des processus scolaires et Universitaires : des écoles vieilles comme le jour, des diplômes très souvent valorisés sur le plan international, un niveau technique et théorique recherchés de par le monde, mais aussi en contre partie, une thématique d’étude et un cheminement cloisonné empêchant souvent la diversité et le changement, le tout régie par un ministère centralisateur…
Ce système scolaire est tellement bien ancré dans notre culture que bien souvent nous abordons le marché du travail selon les mêmes règles.

En Amérique du Nord, au Canada, c’est tout l’inverse. Les Universités sont toutes indépendantes. Passer d’une Université à une autre, mixer le contenu de sa formation selon ses aspirations, stopper et reprendre sa formation quand l’on souhaite et à n’importe quel âge, bref composer son diplôme en fonction de ses réels besoins : c’est possible et même normal.

Seul hic ! au tableau : la reconnaissance des diplômes étrangers, voire de son parcours professionnel par les Universités Nord-Américaines.

Il est évident que le Canada a bien défendu son bout de gras au regard de l’énorme business mondial des études Universitaires. Et pour bien asseoir une telle stratégie marketing, rien de mieux que de ne pas trop valoriser les diplômes étrangers. Business is business !

Je prends pour exemple une femme de mon entourage : cette personne détient un diplôme d’Ingénieur d’une des meilleures écoles Française couplé à un DESS en gestion. Les Ingénieurs français, surtout de ce niveau et issus de cette école sont recherchés partout dans le monde : Math sup., math spé, etc. Elle a reçu pour équivalence une Maîtrise.

La question très sérieuse des équivalences, des diplômes et des Universités Canadiennes feront partis d’un prochain article complet (voir rubrique Grand Dossier du Blog). Du moins on essaiera de vous aider à y voir plus clair voire de vous donner quelques trucs et astuces...


Alain Brosius


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Comment se fête Noël dans certains pays ?

Il ya des pays où Noël n’est pas officiellement célébré, c’est le cas notamment de Djibouti en Afrique de l’Est.

Yasmine est au Canada depuis 3 ans. Yasmine m’a fait part de ses souvenirs d’enfance à Djibouti :

« La religion d’état c’est l’islam, donc Noël ne fait pas parti de notre calendrier. Cependant, je me souviens lorsque j’étais en primaire, où plusieurs instituteurs résidaient dans le cadre de la coopération Française.

Ces derniers, qui avaient l’habitude de fêter Noël en France, nous emmenaient dans une salle aménagée à coté de l’église, en face de l’école primaire.

Là, ils organisaient un petit goûter. On jouait tous ensemble avec les enfants des coopérants ; on nous donnait toute sorte de nourriture, de gâteaux, de cadeaux.

Ensuite nos parents venaient nous chercher, c’était bien ! Mais aussi loin que je me souvienne, cette fête surprise ne se faisait que dans quelques établissements. »

Propos recueillis par Nathalie Wuta


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…‘’Seuls les candidats retenus seront contactés’’…

Connaissez-vous cette petite phrase ?

Si vous avez été au moins une fois dans votre vie chercheur d’emploi, je suis sûre que vous la connaissez. Et qu’en pensez-vous?
Nous avons tous été un jour ou l’autre à la recherche d’un emploi avec tout ce que cela implique: remises en questions, stress, pertes de confiance, espoir, déceptions, …
Nous savons tous également que renvoyer une candidature représente des heures d’intense travail: recherche d’informations, réseautage, rédaction de la lettre d’introduction, peaufinage du C.V.,...

Puis, une fois la candidature envoyée, les heures, les jours, les semaines d’attente, d’espoirs et de désespoirs commencent, rajoutant encore plus d’incertitude à ces périodes difficiles de recherche d’emploi.

Et pourtant… quoi de plus rapide, respectueux et simple pour une entreprise d’entrer l’adresse (ou les adresses) courriel(s) de l’appliquant et de copier-coller un texte standard de réponse tel que :
« Nous vous remercions pour l’intérêt que vous portez à notre entreprise. Cependant nous avons le regret de vous informer que votre candidature n’a pas été retenue. Nous vous souhaitons de trouver rapidement un emploi qui corresponde à vos attentes. »

Montre en main, cela m’a pris 28 secondes. 28 secondes pour donner une réponse a un appliquant qui pourra passer a un autre projet. 28 secondes pour lui signifier le respect que nous lui portons et pour les heures qu’il a passé à s’intéresser à notre entreprise et au poste ouvert. 28 secondes qui rendent notre entreprise plus humaine, attractive et éthique…

Pour plusieurs candidatures refusées ? La fonction Copie-Cachée de Word permet l’envoi multiple de réponses en toute discrétion.

Cécile Sabathe, Coach professionnelle et V.P. marketing société I.T.


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EIO aide les employeurs

L’initiative Embauche immigrants Ottawa (EIO) travaille avec les employeurs locaux afin de les aider à éliminer les obstacles organisationnels qui les empêchent de recruter et de maintenir en poste plus d’immigrants qualifiés. EIO complète ainsi le travail des agences au service des immigrants en procurant aux employeurs des outils et des ressources qui les aident à puiser dans le bassin de talents des immigrants qualifiés de la région. EIO met en contact employeurs et agences au service des immigrants, et organise des activités de réseautage qui permettent aux employeurs et aux immigrants qualifiés de se rencontrer.

L’objectif d’EIO est d’augmenter la capacité des employeurs de la région d’Ottawa d’intégrer efficacement des immigrants qualifiés à leur main-d’œuvre locale. Lancée en 2006, EIO est subventionnée par le gouvernement de l’Ontario et par Citoyenneté et Immigration Canada. Depuis sa formation, EIO rassemble les employeurs pour leur fournir des informations et des appuis qui les aident à accroître leur capacité d’embaucher et de maintenir en poste des immigrants qualifiés.
Les immigrants doivent souvent surmonter de nombreux obstacles pour obtenir un emploi correspondant à leur formation. De même, les employeurs ont des difficultés à recruter les immigrants qualifiés. Dans bien des cas, les obstacles auxquels font face les immigrants et les employeurs constituent les deux côtés d’une même médaille. Par exemple, les immigrants doivent se préparer à l’emploi en se familiarisant avec les différents éléments de la culture canadienne du travail, et de leur côté, les employeurs doivent apprendre à recruter efficacement des immigrants et à créer un environnement de travail ouvert et plus réceptif. Pour cela, ils doivent s’informer et adapter leurs pratiques et politiques de recrutement et de gestion du personnel. Ils doivent aussi développer de nouvelles compétences interculturelles parmi leur personnel. EIO accompagne les employeurs à chaque étape de cette démarche.
Les ateliers d’EIO destinés aux employeurs couvrent plusieurs aspects de la démarche d’inclusion. Certaines visent à repérer les candidats qui correspondent au profil recherché parmi les immigrants qualifiés. Les employeurs peuvent par exemple communiquer leurs offres d’emplois aux agences locales d’aide aux immigrants. Ces dernières consultent alors leurs bases de données pour trouver les personnes qui possèdent les compétences requises et font parvenir les coordonnées des candidats potentiels au recruteur.

EIO organise également des activités de réseautage et de coaching pour les employeurs et les immigrants qualifiés. Ces activités permettent aux immigrants et aux employeurs de se rencontrer dans un cadre plus décontracté qu’un entretien d’embauche. Ils peuvent ainsi commencer à éliminer certains des obstacles liés aux différences culturelles. Ces activités ont lieu sur le lieu de travail d’un employeur, et s’adressent généralement à des candidats possédant des compétences spécifiques (par ex. finances et comptabilité). Les agences présélectionnent les candidats qualifiés en se basant sur les compétences recherchées et aident les candidats à se préparer en vue des différentes activités.

D’autres activités d’EIO ont pour but d’appuyer les employeurs tout au long du processus d’embauche, du recrutement à la rétention d’immigrants qualifiés. EIO fournit des outils et des conseils sur les meilleures pratiques afin d’aider les employeurs à évaluer, embaucher et intégrer des immigrants à leurs milieux de travail, puis à les maintenir en poste et à favoriser leur développement professionnel à long terme. EIO offre également aux employeurs l’occasion de participer à des séminaires et ateliers de formation interculturelle. Ces séminaires et ateliers intensifs visent à améliorer les compétences interculturelles des employeurs, pour leur permettre de mieux préparer leur organisation à accueillir une main d’œuvre diversifiée.

Le site web d’EIO, www.embaucheimmigrantsottawa.ca, est une excellente ressource pour les employeurs. Il contient une mine d’informations, de documents prêts à télécharger et de liens vers d’autres ressources sites utiles. Voici quelques exemples de ce qu’on peut y trouver :
- Une section intitulée « Pourquoi embaucher des immigrants », qui renferme une analyse de rentabilisation détaillant les avantages, pour les employeurs, d’un milieu de travail diversifié,
- Des exemples de réussite, qui décrivent certaines mesures novatrices prises par des employeurs pour améliorer leur capacité d’embaucher et d’intégrer des immigrants qualifiés à leur personnel,
- Le « Guide de l’employeur pour l’intégration des immigrants au milieu de travail », un guide de référence rapide qui traite des difficultés les plus souvent rencontrées par les employeurs qui souhaitent embaucher et maintenir en poste des immigrants qualifiés,
- « Employeurs en action », un document destiné aux employeurs qui cherchent à améliorer leurs résultats en matière d’embauche et d’intégration des immigrants qualifiés. On y trouve notamment des stratégies pratiques et efficaces, mises au point par et pour des employeurs,
- Le calendrier à jour des séminaires et ateliers de formation interculturelle pour les gestionnaires et le personnel des RH appartenant à d’entreprises et d’organisations de toutes tailles.

Pour de plus amples renseignements au sujet d’EIO, visitez le site web www.embaucheimmigrantsottawa.ca, téléphonez au 613-228-6700, ou envoyez un courriel à info@hireimmigrantsottawa.ca


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Projet collégial visant à favoriser l’intégration et l’emploi des immigrants (PCIEI)

Consciente des difficultés et obstacles auxquels fait face la communauté immigrante quant à la recherche d’un emploi au Canada, La Cité collégiale adresse la situation par son offre de services diversifiée et axée sur des problématiques spécifiques.

Grandement impliquée au niveau de l’intégration des professionnels formés à l’étranger et des nouveaux arrivants, La Cité collégiale a constaté que la réussite de leur passage sur le marché du travail est dépendante de l’aiguillage qu’ils reçoivent à leur arrivée au pays.

Par ce constat, le collège a mis sur pied le Projet collégial visant à favoriser l’intégration et l’emploi des immigrants (PCIEI).

Cette initiative offre des services d’aide à l’orientation des nouveaux arrivants en ce sens qu’elle leur permet de faire un choix éclairé sur leur avenir professionnel en Ontario tout en évaluant leurs compétences.

Dès leur accueil au collège, les nouveaux arrivants sont orientés vers les personnes-ressources du PCIEI afin de faire un bilan de leur profil.

À ce jour, le projet a permis à près de 750 nouveaux arrivants de choisir un domaine de formation qui correspond à leurs compétences et intérêts, dans la mesure du possible.

La Cité collégiale confirme que ces services d’accueil et d’orientation ont un effet positif direct sur la réussite de l’intégration des nouveaux arrivants en Ontario et facilitent leur passage vers l’emploi.

Pour plus d’information sur le PCIEI, communiquez avec Isabelle Valin au 613 742-2475.


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La gestion du multiculturalisme au Fairmont Château Laurier

Pour Fairmont Château Laurier, c'est une chance incroyable d'être localisé au centre de la Capitale Nationale de notre pays. Nous profitons d'un bassin de candidats pour l'embauche qui est très diversifié.

Pour nous, les différences et la diversité des profils sont très importantes. Ceci nous permet de s'assurer que chacune des exigences des différentes fonctions seront comblées.

En tout nous comptons près d'une centaine de postes différents à notre Hôtel. Les responsabilités rattachées à chacun de ces postes peuvent se rejoindre étroitement ou être très divergentes.

Pour nous, la définition de l'employabilité s'appuie sur des critères spécifiques que les candidats doivent être en mesure de rencontrer. Au-delà de l'apparence professionnelle, des compétences spécifiques et des expériences antérieures de travail, les critères de base communs à tous les postes confondus sont l'attitude et la fiabilité.

La plupart du temps, l'attitude d'un individu se détecte dès les premiers instants d'une rencontre. Nous avons besoin de gens positifs et dynamiques qui n'ont pas peur d'utiliser les formules de politesse et pour qui être au devant des autres est une seconde nature.

Chez Fairmont, notre mission est de ''transformer des souvenirs en moments inoubliables pour nos clients''. Tous nos employés ont la responsabilité de mettre en œuvre toutes les actions possibles dans leur sphère d'activité pour atteindre l'objectif de notre mission qui est de gagner la loyauté de nos clients.

La compétition est très présente entre les différentes chaines hôtelières.

Une des façons de nous démarquer est d'offrir un service personnalisé qui va rencontrer et même souvent dépasser les attentes de nos clients. Ce service est assuré par nos employés.

C'est une grande responsabilité qu'ils ont. Fairmont Château Laurier fait la promesse de délivrer sa mission à ses clients et doit pouvoir compter sur son personnel pour le faire.

C'est dans l'ultime atteinte de cet objectif que les candidats sont sélectionnés. Attitude, fiabilité, ponctualité, honnêteté, flexibilité, travail d'équipe, sens de l'initiative, etc. sont tous des critères qui favoriseront le déploiement d'un ''service engagé''.

C'est par expérience et par observation que nous sommes arrivés à constater que nos employés ayant le plus de succès sont ceux qui possèdent le talent de faire sincèrement ressentir à nos clients qu'ils se soucient de leurs besoins et de leur bien-être comme individus.

C'est aussi dans le maintient de nos valeurs de base qui sont le Respect, l'Intégrité, le Travail d'Equipe et la Responsabilisation que nos employés cheminent.

Il est primordial pour Fairmont Château Laurier que ses employés performent selon les attentes mais il est aussi primordial de reconnaître le bon travail et de célébrer les succès. Fairmont offre des récompenses à ses employés en guise de reconnaissance pour leur contribution.

Que ce soit des privilèges voyages, des réceptions, des cadeaux ou autres mais aussi et surtout, de merveilleuses et nombreuses opportunités de faire carrière au sein d'une chaîne hôtelière haut de gamme dont la bannière est reconnue internationalement.

Anne Malinowski, Director, Human Resources- Fairmont Château Laurier
"Canada's Tradition of Grandeur''

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En tant que nouvel arrivant au Canada

Vous vous demandez probablement où et comment trouver un emploi, et si vos titres de compétences et votre expérience antérieure seront reconnus au Canada.

Le gouvernement du Canada reconnaît ces difficultés et prend des mesures pour vous aider à obtenir un emploi dans votre domaine de compétence.

En travaillant avec les provinces et les territoires, le gouvernement fédéral améliore la reconnaissance des titres de compétences étrangers grâce au Cadre pancanadien d'évaluation et de reconnaissance des compétences acquises à l'étranger.

Dans le cadre de cette nouvelle entente, les travailleurs formés à l'étranger qui présentent une demande de reconnaissance afin d'obtenir le permis ou l'accréditation leur permettant d'exercer certaines professions réglementées recevront une réponse en moins d'un an.

Le personnel du Programme de reconnaissance des titres de compétences de Ressources humaines et Développement des compétences Canada collabore avec les gouvernements provinciaux et territoriaux, les organismes d'attribution des permis et les organismes de réglementation, les conseils sectoriels et les employeurs pour aider les travailleurs formés à l'étranger à mieux intégrer le marché du travail et à trouver des emplois qui correspondent à leurs compétences.

Le Bureau d'orientation relatif aux titres de compétences (BORTCE) de Citoyenneté et Immigration Canada fournit aux personnes qui ont été formées et qui ont étudié à l'étranger de l'information fiable et exacte sur les processus d'évaluation des titres de compétences au Canada.

Le BORTCE offre également des services d'orientation et d'aiguillage aux immigrants. Ces services sont offerts à l'étranger et au Canada afin d'aider les nouveaux arrivants à mettre à profit leurs compétences et aptitudes au sein du marché du travail canadien.
Le gouvernement du Canada a de nombreux sites Web qui vous fourniront les renseignements dont vous avez besoin pour prendre des décisions éclairées en ce qui a trait à la recherche d'emploi au Canada.

L'outil Travailler au Canada constitue une excellente ressource pour les chercheurs d'emploi. Cet outil très efficace vous donne des renseignements sur les perspectives actuelles pour votre profession dans l'ensemble du Canada. Il offre des renseignements sur les compétences essentielles, les descriptions de poste, les conditions et les possibilités de travail; il vous indiquera également si votre profession est réglementée au Canada et les démarches que vous devez entreprendre pour faire reconnaître vos compétences.

Pour utiliser cet outil, consultez le site suivant : http://travailleraucanada.gc.ca .

Le site Web du BORTCE constitue une autre source de renseignements en ligne pour les travailleurs formés à l'étranger. Vous y trouverez des renseignements importants concernant toutes les étapes du processus d'immigration, y compris ce que vous pouvez faire avant d'arriver au Canada ou ce que vous pourriez avoir à faire une fois sur place.

Pour de plus amples renseignements, consultez le site suivant : http://www.competences.gc.ca .

Il est important de retenir que la reconnaissance des compétences acquises à l'étranger relève des gouvernements provinciaux et territoriaux.

Pour de plus amples renseignements concernant l'évaluation et la reconnaissance des titres de compétences étrangers au Québec, veuillez communiquer avec le gouvernement du Québec.

Ressources humaines et Développement des compétences Canada


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L’industrie du tourisme et le RDEE travaillent ensemble pour vous

L’industrie touristique est l’industrie qui connait la plus forte croissance au monde mais aussi une de celles qui génèrent le plus d’emploi (voir aussi article L’Industrie du Tourisme et le Canada).

Les professionnels du tourisme, le RDEE, L'OTEC (Ontario Tourism Education Corporation), Le YMCA-YWCA travaillent ensemble pour créer et développer un nouveau service spécialisé dans l’employabilité des immigrants francophones au sein de l’industrie touristique de l’Ontario.

Les objectifs :
· Faciliter l’employabilité des immigrants francophones pour ainsi optimiser leur intégration professionnelle et sociale → obtenir rapidement le 1er emploi pour la 1ère expérience canadienne
· Répondre efficacement aux besoins sans cesse croissants en ressources humaines des professionnels du tourisme de l’Ontario, notamment pour les métiers tels que : préposé ou personnel élémentaire de services.

La structure :
Il s’agit d’une organisation tridimensionnelle regroupant,
- Un collectif des professionnels du tourisme de l’Ontario (hôteliers, hébergeurs, parcs d’attraction et tout autre compagnie privée ou publique).
- Les Immigrants Francophones de la région de la Capitale Nationale dans un premier temps, puis plus largement de l’Ontario
- Un (ou plusieurs) organisme(s) de formation, proposant des programmes courts ou longs, en parfaite adéquation avec les besoins de l’industrie touristique.

Les emplois au sein de l’industrie touristique sont nombreux et variés. A tous les niveaux des postes sont à pourvoir, en Français, en Anglais ou bien dans les deux langues.

Bien souvent, la flexibilité du temps de travail dans cette industrie est une aubaine et permet d’associer d’autres activités, des études, un autre emploi ou des projets personnels.

Si vous être intéressés par un emploi dans le tourisme envoyez nous vos coordonnées et nous allons prochainement vous recontacter.

Alain Brosius, abrosius@rdee-ont.ca


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L’industrie du Tourisme et le Canada

L’industrie touristique est l’industrie qui connait la plus forte croissance au monde mais aussi une de celles qui génèrent le plus d’emploi.

Pour 6 Provinces Canadiennes sur 10, le Tourisme est la 3ème priorité de développement économique.

Le Tourisme se situe au 4ème rang au sein de l’économie Canadienne.

En 2008, un total de 1,8 million de personnes travaillait dans le secteur du tourisme au Canada, ce qui représentait 10 % de la main-d’œuvre totale du pays.

Selon le Conseil Canadien des Ressources Humaines en Tourisme (http://cthrc.ca/fr) et d’ici 2010, on prévoit que la pénurie de main-d’œuvre potentielle dépassera 13 000 emplois à l'année au Canada. D'ici 2025, ce chiffre pourrait gonfler pour atteindre près de 257 000 emplois.

D’ici 2011, la croissance de la main-d’œuvre au Canada – et, par extension, la vitalité de l’économie nationale – dépende entièrement de l’immigration.

Alain Brosius, abrosius@rdee-ont.ca


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Une feuille de route pour les employeurs

Le gouvernement du Canada introduit une nouvelle ressource pour les employeurs désirant embaucher des travailleurs formés à l’étranger.

Il s’agit d’une feuille de route qui répond aux questions que se posent de nombreux employeurs lorsqu’ils désirent embaucher des travailleurs formés à l’étranger, notamment comment les recruter, les évaluer et les choisir.


Elle donne également des suggestions sur la façon d’aider ces nouveaux employés à s’intégrer et à demeurer en poste.

Enfin, elle contient de l’information sur une gamme de ressources nationales et régionales qui sont déjà offertes aux employeurs.


Pour en savoir davantage, visitez le site Web : www.competences.gc.ca.


Yasmine Moussa Ali


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Admission aux écoles de langue française

Élargissement des lignes directrices concernant l’admission aux écoles de langue française.

L’Ontario a récemment adopté une nouvelle définition de la population francophone en réponse à la diminution des naissances, à la croissance de l’immigration et à l’augmentation des familles dont un seul des parents est francophone - quelques-uns des facteurs expliquant le changement de la population francophone de l’Ontario.
Pour tenir compte de ces changements, les conseils scolaires de langue française vont réviser leur processus d’admission afin de le normaliser davantage et de rendre leurs écoles plus accueillantes pour :
- les nouveaux arrivants francophones
- les nouveaux arrivants ne parlant ni français ni anglais
- les enfants ayant des grands-parents dont la langue maternelle est le français
- les familles dont un des parents ne parle pas français

En savoir davantage: www.ontario.ca/nouvelles-education


Yasmine Moussa Ali
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S'impliquer dans la vie scolaire de votre enfant

Les écoles encouragent les parents à s’impliquer dans les activités de l’école (bénévolat).

Activités et réunions d’école : Les écoles organisent occasionnellement des présentations sur des sujets qui se rapportent à l’école tels que l’alphabétisation, les mathématiques et la façon d’aider votre enfant à réussir.

Ce sont d’excellentes occasions de passer du temps avec votre enfant et d’en apprendre davantage sur l’école.
Conseil de l’école : un groupe consultatif est composé de parents, de membres de la communauté, du personnel et éventuellement de la paroisse.

Tous les parents peuvent assister aux réunions du conseil d’école où ils seront encouragés à participer à la discussion. Tous les parents sont admissibles pour devenir membres de ce conseil.

Lipanda Billy Bilari, La Boussole, billy.lipanda@cesoc.ca
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Le calvaire de la reconnaissance des diplômes

J’ai débarqué il y a un an de France avec mes 2 maîtrises en journalisme et communication dans mes bagages. J’étais assez fier des mes diplômes. Mais j’ai vite déchanté !

Pas facile de faire reconnaître mes diplômes, mes compétences et surtout pas d’expérience canadienne. Les professionnels de la santé, des ingénieurs, avocats… Ils ont un mal fou à faire reconnaître leurs diplômes et expériences.

Plusieurs solutions s’offrent :
D’abord le centre de reconnaissance des diplômes. Après plusieurs tests, le centre vous délivre une équivalence canadienne de votre diplôme. Vous avez aussi les écoles de remise à niveau comme la Cité Collégiale.

L’établissement possède d’excellents programmes pour les nouveaux arrivants ; cours de langue, apprentissage d’un métier…Programme gratuit pour les résidents permanents et réfugiés reconnus.
Au niveau professionnel, le bénévolat dans un organisme est reconnu par les employeurs comme étant une véritable expérience professionnelle. D’ailleurs moi j’avais choisi TV Rogers, une porte d’entrée dans les médias… À suivre
Contact :
Reconnaissance des diplômes étrangers :
http://www.cicic.ca/334/reconnaissance-des-diplomes-etrangers.canada


Emmanuel Josselin, mjprocom@hotmail.com
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Le système scolaire en Ontario

En Ontario, les rôles et responsabilités de chacun :
- Le Ministère : Collabore à l’élaboration des politiques et règlements en éducation
- Les Conseils scolaires : Administrent leurs écoles et assurent le fonctionnement des écoles provinciales subventionnées par les deniers publics.
- Directeur d’école : Cette personne est responsable de l’organisation et de la gestion d’une école.
- Professeur : Prépare les plans de cours et enseigne; encourage les élèves dans leurs études, évalue leurs travaux et leurs progrès; supervise le comportement des élèves et assure la discipline en classe.
- Élève : outre son parcours d’étudiant, l’élève fait preuve d’autodiscipline et se comporte avec courtoisie tant envers le personnel enseignant qu’envers ses camarades.
- Parents : veillent à ce que leurs enfants fréquentent l’école.


Lipanda Billy Bilari, La Boussole, billy.lipanda@cesoc.ca


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L'opinion soutient largement une action contre le réchauffement

L'opinion soutient largement une action contre le réchauffement (source : NOUVELOBS.COM, 04.12.2009)
Selon un sondage réalisé dans 15 pays, 88% des personnes interrogées jugent que leur pays devrait agir contre le changement climatique. L'engouement est très marqué dans les pays en développement.

La lutte contre le réchauffement climatique est très soutenue par l'opinion publique au niveau mondial, selon un sondage de la Banque mondiale publié jeudi 3 décembre. L'engouement est particulièrement marqué dans les pays en développement.

Ce sondage réalisé dans 15 pays et dont la publication intervient quatre jours avant l'ouverture du sommet de Copenhague sur le climat met en évidence une inquiétude largement répandue selon laquelle le réchauffement de la planète finira par nuire aux populations.


Parmi les sondés, 88% estiment que leur pays devrait agir contre le réchauffement, et le pourcentage frôle les 100% dans des pays d'Asie en forte croissance économique comme la Chine, le Vietnam et le Bangladesh.


Aux Etats-Unis, seul pays développé à ne pas avoir signé le Protocole de Kyoto sur les réductions d'émissions de gaz à effet de serre, 82% des personnes interrogées veulent que leur gouvernement agisse à l'avenir.

Les habitants des pays d'Asie se disent très concernés par la lutte contre le réchauffement (AFP)
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Centre d’information canadien sur les diplômes internationaux (CICDI)

Évaluation et reconnaissance des diplômes et qualifications aux fins d'emploi. Chercher du travail

Comment puis-je faire reconnaître au Canada mes études, ma formation et mon expérience de travail ?La procédure à suivre pour faire évaluer vos diplômes sera différente selon que vous cherchez à exercer un métier, selon que la profession qui vous intéresse est réglementée ou non réglementée, et selon la province ou le territoire dans laquelle vous souhaitez vous installer.

En règle générale, si la profession que vous avez choisie est réglementée, ce sera à l'ordre provincial de reconnaître vos diplômes, alors que pour les professions non réglementées, c'est habituellement l'employeur qui décide.

Quelle est la différence entre une profession réglementée et une profession non réglementée?
Profession réglementéeUne profession réglementée est contrôlée par des lois provinciales (et parfois fédérales) et régie par une association ou un ordre professionnel, qui a le pouvoir de fixer les critères d'accès et les normes d'exercice, d'évaluer les qualifications et les diplômes des candidates et candidats, d'accorder le certificat, le titre réservé ou le permis d'exercice aux candidates et candidats qualifiés, et de discipliner les membres de la profession.


Les conditions d'accès à la profession varient souvent d'une province à une autre; il pourra y avoir des examens, des périodes de travail supervisé, une évaluation des compétences linguistiques, etc.

Si vous voulez exercer une profession réglementée et utiliser un titre réglementé, vous DEVEZ obtenir le permis d'exercice, le certificat ou le titre réservé de l'organisme qui régit votre profession. Certaines professions sont réglementées dans certaines provinces, et ne le sont pas dans d'autres.
Environ 20 % de la population canadienne exerce une profession réglementée (vétérinaire, électricien, plombier, physiothérapeute, médecin, ingénieur, etc.)
Le système de réglementation vise à protéger la santé et la sécurité de la population canadienne en garantissant que ces professionnelles et professionnels respectent les normes applicables en matière d'exercice et de compétence.
Profession non réglementée :
Une profession non réglementée est une profession pour laquelle il n'y a ni règles ni restrictions légales quant à l'octroi du permis d'exercice, du certificat ou du titre réservé.
Au Canada, la grande majorité des professions appartiennent à cette catégorie. Il existe cependant pour certaines professions non réglementées des associations qui offrent sur une base volontaire des certificats ou des mécanismes d'inscription, alors que d'autres professions non réglementées n'ont absolument rien de ce genre.
En général, les candidates et candidats doivent prouver à l'employeur potentiel qu'ils possèdent l'expérience et la formation requises pour l'emploi. Même si une profession n'est pas réglementée, l'employeur peut exiger que la personne obtienne une évaluation comparative ou qu’elle soit inscrite ou qu'elle détienne le certificat ou le permis d'exercice de l'association professionnelle appropriée.
Si je veux exercer une profession réglementée, que puis-je faire pour faire évaluer et reconnaître mes titres et diplômes?
Chaque profession réglementée a ses modalités d'évaluation et de reconnaissance, qui sont généralement établies par l'association ou l'ordre professionnel de la province. (Certaines professions sont également assujetties à des critères de reconnaissance établis par le gouvernement fédéral.)

Pour avoir le droit d'exercer une profession au Canada, il se peut que vous ayez à passer des examens professionnels ou des tests de langue, à faire évaluer vos qualifications ou à entreprendre une période de travail supervisée. Modalités relatives à la reconnaissance des titres et diplômes.

Pour obtenir plus de renseignements sur les modalités relatives à la reconnaissance des titres et diplômes de votre profession, nous vous suggérons de faire les démarches suivantes :
trouver le nom et l'adresse de l'organisme régissant votre profession dans la province;
http://www.cicic.ca/356/profils-d%27acces-a-divers-metiers-et-professions.canada
demandez à l'ordre professionnel de vous informer sur les modalités et les frais d'obtention du permis d'exercice, du certificat ou du titre réservé, et sur la procédure à suivre pour faire évaluer vos diplômes.

Cet organisme vous renseignera sur les pièces justificatives à fournir et sur le coût des démarches.
Le processus de reconnaissance varie d'une province à une autre et d'une profession à une autre. Comme ce processus peut être long et coûteux, il est important que vous obteniez tous les renseignements nécessaires sur le processus et les exigences précises avant d'entreprendre une évaluation.

Si je veux exercer une profession non réglementée, que puis-je faire pour faire évaluer et reconnaître mes diplômes?
Pour les professions non réglementées, les conditions d'emploi peuvent varier énormément. On peut par exemple vous demander de prouver que vous possédez un certain niveau de compétence, que vous avez fait un certain nombre d'année d'études, et même que vous possédez des traits de personnalité convenant à l'emploi.

Qualifications ne sont pas réglementées par des lois provinciales, c'est l'employeur qui décidera si les diplômes que vous avez obtenus à l'extérieur du Canada sont équivalents aux diplômes canadiens requis pour exercer la profession. Il pourra demander l’aide d’un service d’évaluation [http://www.cicic.ca/368/les-services-d'evaluation-des-diplomes.canada]. Il existe des certificats ou des mécanismes d'inscription dans quelques professions non réglementées, que certains employeurs pourront exiger des postulants à leurs emplois.
Procédures d’évaluation :
Il n'y a pas de procédure unique d'évaluation des diplômes aux fins d'exercice des professions non réglementées.

Diverses démarches vous permettront toutefois de faciliter la tâche à votre employeur potentiel :
Communiquez avec l'association ou l'ordre responsable de votre profession et renseignez-vous sur les procédures à suivre pour faire évaluer vos qualifications. Le CICDI peut vous fournir les coordonnées de l'organisation appropriée au Canada, s'il y en a une;
Communiquez avec des employeurs, dans votre domaine d'activité, pour vous renseigner sur les attentes générales concernant votre profession au Canada. Consultez la publication Classification nationale des professions [http://www5.rhdcc.gc.ca/CNP/Francais/CNP/2006/Bienvenue.aspx];

Vérifier s'il existe, dans la province ou le territoire qui vous intéresse, un processus de certification ou d'inscription volontaire pour votre profession et quelles y sont les critères d'exercice de la profession.

Pour déterminer s'il existe un organisme provincial de certification pour votre profession, consultez la notice appropriée dans la liste fournie à la page Web http://www.cicic.ca/356/profils-d%27acces-a-divers-metiers-et-professions.canada


S'il n'en existe pas, communiquez avec l'un des services d'évaluation des diplômes pour faire évaluer vos diplômes. Ces services vous donneront l'avis des experts sur le degré d'équivalence qui existe entre les qualifications que vous avez obtenues hors du Canada et les diplômes offerts dans une province canadienne. Notez également que les services de ces agences sont payants.
Traduction de mes qualifications en français ou en anglais ?
Si vous avez des documents à caractère officiels qui doivent être traduits et authentifiés, le service d'évaluation ou l'ordre professionnel vous en avisera et vous indiquera comment procéder.
Sceau Rouge :
Qu’est-ce un métier, et qu’est-ce qu’un métier désigné par le Sceau rougeUn métier nécessite généralement soit un à trois ans d'études postsecondaires dans un collège communautaire ou une université soit deux à quatre ans de formation professionnelle, soit deux à trois ans de formation en milieu de travail, soit une combinaison de ces formations. Il faut parfois avoir un permis d'exercice, un certificat ou le titre réservé pour exercer un métier.
Certains métiers font partie du Programme de normes interprovinciales Sceau rouge [http://www.sceau-rouge.ca/w.2lc.4m.2@-fra.jsp].

Ce sont des métiers pour lesquels toutes les provinces et les territoires ont accepté des normes communes d'accès au métier en vue de favoriser la mobilité des travailleurs à travers le pays. Les métiers du programme Sceau rouge sont désignés sous l'autorité du Conseil canadien des directeurs de l'apprentissage, qui est également l'organisme chargé de l'établissement des normes applicables à ces métiers.

Le Sceau rouge est un passeport qui permet à son détenteur d'exercer son métier n'importe où au Canada, sans autre examen.
Dans certaines provinces, l'obtention d'un certificat ou d'un titre est facultative : il n'est pas nécessaire d'avoir le certificat ou le titre ou de faire un stage formel pour exercer le métier. Le certificat du Sceau rouge atteste toutefois que son titulaire a atteint un certain niveau d'expertise, et certains employeurs l'exigent.
Évaluation de mes diplômes étrangers :
La meilleure façon de faire évaluer vos titres et diplômes aux fins d'information générale est de s'adresser à l'un des services d'évaluation [
http://www.cicic.ca/368/les-services-d'evaluation-des-diplomes.canada] ou, si c'est aux fins de certification professionnelle, de communiquer avec l'ordre approprié en faisant une recherche à [http://www.cicic.ca/356/profils-d%27acces-a-divers-metiers-et-professions.canada].

Les services d'évaluation vous fourniront un avis d'expert quant à la comparabilité de vos qualifications avec des qualifications obtenues dans une province ou un territoire du Canada, mais leurs évaluations sont strictement indicatives et ne garantissent pas la reconnaissance de vos qualifications. Par contre, elles aideront les employeurs et les ordres professionnels à mieux comprendre les études que vous avez faites. Notez également qu'il y a des frais pour ces services.
Comment puis-je me renseigner sur les possibilités d'emploi au Canada?
Il n'y pas de source d'information centrale sur les possibilités d'emploi. Vous pourrez vous renseigner sur les possibilités d'emploi en communiquant avec les associations professionnelles appropriées, en lisant les circulaires et bulletins professionnels disponibles et en consultant les annonces classées des journaux locaux.

Nombre d'organisations communautaires et d'accueil des immigrants peuvent également conseiller les nouveaux immigrants et immigrantes. En outre, bon nombre d'agences de recrutement privées peuvent aider les particuliers à trouver un emploi. Certaines font toutefois payer pour leurs services.
Renseignements sur le marché du travail :
Emploi-Avenir :
http://www.emploiavenir.ca/
Guichet Emplois
http://www.emploisetc.ca/

Comment le Centre d’information canadien sur les diplômes internationaux (CICDI) peut-il m’aider?Le CICDI décrit et explique les démarches à suivre pour faire évaluer des qualifications scolaires et professionnelles en indiquant à quels organismes il faut s'adresser.

Le CICDI ne peut ni délivrer des équivalences, ni évaluer des titres, ni intervenir au nom des particuliers ou dans des procédures d'appel :
- Les ordres professionnels sont habilités à déterminer la valeur des programmes et diplômes étrangers;
- aide à faire connaître les procédures de reconnaissance des qualifications;
- encourage l'adoption de méthodes équitables et standardisées d'évaluation des diplômes;
- sert de point de contact entre les établissements d'enseignement et les ordres professionnels du Canada et les organisations internationales et les centres d'information du reste du monde;
- recueille des données sur les modalités de reconnaissance des diplômes et des titres professionnels en vigueur dans différentes instances du Canada.


Ces renseignements sont emmagasinés dans des bases de données régulièrement mises à jour qui englobent plus de 800 organismes professionnels, éducationnels et communautaires.
Communication avec le CICDI :
Il ne faut pas hésiter à communiquer avec le CICDI par courrier électronique, par téléphone, par télécopieur ou par la poste si vous avez des questions au sujet de la marche à suivre pour faire évaluer et reconnaître vos diplômes.

Assurez-vous de bien indiquer, dans votre demande, à quelle fin vous souhaitez obtenir des renseignements sur l'évaluation, et de préciser la profession ou le métier que vous aimeriez exercer et la province où vous aimeriez travailler.

Si vous avez besoin d'autres renseignements, n'hésitez pas à nous contacter :
Vous avez une question rendez-vous à:
http://www.cicic.ca/690/Posez-nous-une-question.canada

Vous pouvez aussi nous appeler:Téléphone : (416) 962-9725Télécopieur : (416) 962-2800
Source : Centre d’information canadien sur les diplômes internationaux (Le CICDI) :
http://www.cicic.ca/

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